ON CROQUE ON CROQUE
Peinture Vonnick Caroff, textes : Elisabeth Pasquier
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Quand je demande des nouvelles d’Elisabeth et Vonnick à mon copain André Kleim, il me dit: « Elles font trempette dans le Rosmeur ».
Et moi, c’est ballot, mais tant qu’Elisabeth et Vonnick se baignent dans le Rosmeur, j’ai l’impression qu’il ne peut rien arriver de définitivement mauvais à l’espèce. Rafraîchies, bouchonnées, les cheveux en épis, avec encore un peu de sable entre les orteils et un confetti de varech collé au mollet, elles nous donneront notre content de phrases bien vues et de pochades bien senties.
Emmanuel Guibert
LE PETIT TOUR
Peinture Vonnick Caroff, textes : Elisabeth Pasquier
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Le petit tour, clin d'oeil au grand tour qu'entreprenaient les jeunes pour parfaire leurs humanités.
Un petit tour dans les rues de Rome et de Naples, journal de deux regards croisés.
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Nous savons quand nous quittons la cour à la Garbatella que nous tenons là un motif, on ne sait encore qui ne nous deux s'en saisira, par le verbe ? Par le trait ?
ECLATS DE TEMPS
Peinture Vonnick Caroff, textes : Françoise Louise Demorgny
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Le site des éditions Isabelle Sauvage : https://editionsisabellesauvage.fr
Claire-obscure
Peinture Vonnick Caroff, textes de Emmanuel Guibert, Anne-Louise Trividic, Michel Rostain, Thierry Guidet, Antoinette Dilasser, Elisabeth Pasquier, Catherine Mesnard-Bornibus, Isabelle Arzul et Christine Lapostolle
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Au cours des deux dernières années le peintre Vonnick Caroff a cherché, observé, dessiné et mangé toutes ces huîtres. Depuis Ostende, sur les rivages de la mer du Nord, de la Manche, sur tout le littoral Atlantique, au bord de la Méditerranée, jusqu’aux lagunes de Venise. Elle veut associer son travail de peintre à celui des nombreux ostréiculteurs qu’elle a rencontrés, et se souvenir dans le silence de son atelier de Pont-Croix de la longue note sifflée de l’huîtrier.
Roses, Célébrations
Denise Le Dantec, Vonnick Caroff
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« Je suis retournée du côté des roses… Il y a dans ces fleurs que les douceurs de la saison apportent l’indication d’une ferveur à retrouver et à ne pas perdre quand les jours seront trop sombres. La rose représente dans le monde végétal l’Idée du Beau ; de sorte qu’y participant, toutes les roses sont belles. Le statut de la rose ne se discute pas. »
Denise Le Dantec
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Compère qu'as-tu vu ?
Jean-Pierre Abraham, Vonnick Caroff
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Des textes brefs, des peintures en écho (près de soixante) : cet ouvrage est le résultat d’un dialogue mené pendant huit mois par deux voisins habitant la pointe du Finistère. Suffirait-il de faire très attention pour que la vie quotidienne s’éclaire de minuscules miracles ? On dirait bien que oui.
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Ile d'Aix, fort Liédot
Philippe Foucault, Vonnick Caroff
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Sur l'île d'Aix, le fort de la Sommité, devenu fort Liédot, s'est laissé engloutir par une forêt de chênes. Pour le trouver, le lecteur-randonneur traverse l'ïle et remonte l'histoire. Aujourd'hui réhabilité, le fort dévoile l'admirable architecture de ses salles voûtées.
Philippe Foucault est un professionnel de l'image et de la télévision. Il est aussi l'auteur de scénarios et d'un ouvrage sur le botaniste et aventurier rochelais Bonpland : Pêcheurs d'orchidées, aux éditions Seghers.
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Aller simple/Place entière
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Catalogue réalisé à l'occasion de l'exposition de Vonnick Caroff au phare de Penmarc'h.
Balade Ballade
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Edition de la galerie Ombre et lumière
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Coquecigue, où es-tu ?
Jean-Pierre Abraham, Vonnick Caroff
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Livre pour enfants
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Histoire d'Io
Jean-Pierre Abraham, Vonnick Caroff
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Quelle mouche l’a piquée ? Volontiers recluse, naguère, en son jardin, pourquoi Vonnick Caroff s’est-elle éclipsée soudain vers je ne sais quels hauts plateaux, vers ces sentiers improbables où des vaches déménagent avec leur maisonnée, certaines pavoisées, comme en Aubrac en mai ? Étrange transhumance, vers quelle estive inconnue ?
Au retour : comment montrer ses découvertes, les images récoltées, ce somptueux déferlement de couleurs ? Comment trimbaler tout le bazar, et cette toile de six mètres de long, qu’il faudrait rouler et dérouler à chaque fois ? Plutôt choisir le moins pesant, le plus vagabond des moyens de transport : un livre, celui-ci. Il suffisait de séduire deux sbires, le voisin photographe, l’éditeur un peu fou. Et moi, compère éberlué au bord du chemin, comment me faire accepter dans la bande, sinon en prétendant que je sais une histoire, à raconter comme font les nomades le soir, à l’étape, autour d’un mince feu, sous un ciel crépitant d’étoiles ? — J.-P. A.
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